UNE FORME D'ART
06/06/2018 15:46 par toujourszen
Merveilleux je trouve §§
De l'Art...
En cas de doute, choisissez le silence!
ll dérange, irrite, agace...
Mais ne gaspille pas votre énergie...
Et préserve votre image...
Et bien je vous dirais que vraiment c'est ce que je fais.
Le vent emporta les feuilles jaunies tombées sur les trottoirs,
et à la douceur du soleil d’automne, succéda la rigueur de l’hiver/
(Guillaume Musso)
1- "le moi, je" ne rend pas heureux ..
La gentillesse c'est la fin de l'arrivisme, du mépris à l'égard des autres et de la glorification des performences individuelles.
2- Cela peut aider à changer le monde : à défaut de faire cesser les guerres et les grandes injustices de cette société, on peut essayer de changer le monde autour de soi comme par exemple faire attention aux autres, respecter son prochain.
3- C'est parfois une question de survie : sans un minimum d'attention et de gentillesse, on peut dépérir.
4- C'est la seule manière de créer des vrais liens : il suffit parfois d'un sourire pour donner à vos interlocuteurs l'envie de vous écouter jusqu'au bout. La gentillesse dans les relations sociales, c'est l'indulgence.
5- C'est toujours payant : la véritable gentillesse n'est pas toujours une stratégie intéressée mais il n'en reste pas moins qu'elle se révèle toujours payante.
6- C'est le contraire de la faiblesse : trouver les bons mots pour dire ce qui n'est pas agréable à entendre, c'est aussi de la gentillesse.
7- C'est la manière de prendre soin de soi : il est essentiel d'avoir un minimum de considération pour sa propre personne et de se traiter comme un être précieux, à ménager.
Conclusion : Usez et abusez de la gentillesse !
C'est ce que j'ai en tête en ce moment !!!
Pas trop envie de bosser, donc mon esprit s'égare , et rêve...
Pas de soleil , il pleut. Mais ces quelques mots auxquels je pense me donnent un grand sourire !
Ah oui je ne vous l'avais pas dit
Mely est une grande rêveuse!
je vous le dis... la vie est courte.
Alors chaque moment profitons-en !
Mely
Bonne journée tout le monde
Soleil ou pas.... apprécions la journée
MELY
Oui il n'est pas question de perdre son temps !!
Mely
Les mots.... parfois durs, parfois doux
Mais toujours si pleins de signification
Mely
Parfois, grâce à des anomalies de la nature, émergent de magnifiques animaux.
C'est le cas du tigre blanc à l'incroyable beauté.
Le tigre blanc est une variété de tigre du Bengale.
Contrairement aux idées reçues, le tigre blanc n'est pas albinos.
Si son pelage est très clair, il conserve des rayures sombres.
En Russie, le Parlement vient de rejeter une proposition de loi visant à bannir l'entraînement des chiens de chasse sur des animaux sauvages capturés, vivants et enchaînés. L'occasion d'attirer l'attention sur cette pratique absolument abjecte, qui consiste à torturer lentement des ours, blaireaux et autres renards, puis de les faire mettre à mort par des chiens, pour les entraîner à la chasse. Les animaux sauvages sont enchaînés, à la merci des chiens, et leurs gueules sont muselées ou leurs dents carrément arrachées afin de les empêcher de se défendre.
Mais la loi visant à interdire ces pratiques a finalement été rejetée par la chambre haute. Interdire ces pratiques serait « tout aussi ridicule que donner des droits à la communauté LGBT », a même osé un sénateur russe...
Enchaîné à un arbre, épuisé et le pelage poisseux de sang, le puissant roi souverain de la forêt Sibérienne vacille. Il tente tant bien que mal de reprendre son souffle tandis que les chiens hurlent, mais il sait que la fin de son calvaire est proche. L'ours fait mine de charger, dans un ultime et vain effort pour faire reculer ses assaillants, mais se retrouve vite bloqué par la chaîne glacée qui étrangle son cou. Les chiens, eux, n'ont qu'à se reculer d'un bond, avant d'enchaîner et de sauter sur lui pour le lacérer à nouveau de leurs morsures. Il n'a aucune chance. Alors, il tente avec l'énergie du désespoir de se libérer de ses chaînes, de s'enfuir, d'arracher ces horribles entraves.
Il n'a beau n'être « qu'une bête », le massif plantigrade en est pleinement conscient : il va mourir là, attaché à cette chaîne, on a bien pris soin de ne lui laisser aucune chance de se défendre. Autour de lui, les hommes ont bien veillé au grain. Ils lui ont déjà brisé les dents, arraché les griffes, pour éviter qu'il blesse leurs précieux chiens — ces derniers pouvant atteindre une valeur marchande conséquente. Ils rient, boivent, fument en commentant le spectacle de ce combat, qui n'est qu'une mise à mort, et qui a l'air de les ravir.
Des « centres d'entraînement » comme celui-ci, il en existe par centaines en Russie. Des renards, blaireaux, mais aussi des sangliers ou des martres, qui sont capturés en forêt ou achetés à des cirques, pour servir de punching-ball d'entraînement aux chiens de chasse. Enfermés dans des cages, dans les pires conditions du monde, ils finissent invariablement dévorés vivants par les chiens, qui, excités par leurs maîtres, s'acharnent sur cette cible facile.
Bien que peu connue en France, cette pratique indigne depuis toujours les militants de la cause animale, notamment en Russie. Une loi interdisant cette pratique, jugée barbare,a même été soumise au gouvernement, et est remontée jusqu'au Parlement, pour être approuvé par la chambre haute. Mais le Conseil de la Fédération, l'équivalent du sénat en Russie, a finalement décidé de rejeter la motion...
Un sénateur russe, Sergey Kalashnikov, représentant de la région de Briansk, a même osé une déclaration totalement hallucinante : il a assené sans rire que l'interdiction de ces camps d'entraînement serait « aussi ridicule que donner des droits à la communauté LGBT »
« Nous prenons avec humour les nombreuses petites modes qui sont actuellement populaires à l'Ouest — comme le politiquement correct, les droits de minorités sexuelles, et autres » a ajouté cet élu du très conservateur parti libéral-démocrate.
Cependant, malgré le refus de la chambre haute, tout n'est pas encore perdu pour les environnementalistes : en effet, Vladimir Poutine lui-même soutient les mesures contre ces pratiques de cruauté animale, et il est possible que la législation soit passée en force, ou revue et présentée une nouvelle fois aux législateurs.
Forts du soutien de Poutine, les opposants aux centres d'entraînement pour chiens ont encore de l'espoir. Mais en parallèle, des manifestations de chasseurs à Moscou, à Saint Pétersbourg ainsi qu'en Sibérie ont insisté pour qu'on leur laisse poursuivre leurs combats d'animaux.