GRATIN AUX CAROTTES, POMMES DE TERRE, ET LARDONS
03/06/2018 06:56 par toujourszen
Ingrédients :
4 bananes
Beurre
2 c. à soupe de miel (30 ml)
1/2 tasse de jus de citron (125 ml)
Crème
Préparation :
Couper les bananes en 2 dans le sens de la longueur.
Déposer les demi-bananes dans un plat à gratin graissé. Mettre des petits carrés de beurre sur les bananes; arroser de miel et de jus de citron.
Laisser cuire 30 minutes environ à four préchauffé à 300 F/150 C.
Servir les bananes dans des bols à dessert et arroser de crème.
Ingrédients :
6 escalopes de veau ( environ 150 g chacune )
4 œufs
120g de roquefort
80g de beurre
sel , poivre
chapelure
farine
Faire cuire 3 œufs pendant ( 10mn )
Faire dorer les escalopes sur une seule face , les retirer .
Mélanger à la fourchette le roquefort avec 80 g de beurre.
Tartinez la face cuite des escalopes avec cette préparation.
Epluchez et fendre les œufs en deux et poser une moitié sur chaque escalope farcie.
Roulez et ficeler puis fariner ces escalopes farcies, les passer dans l'œuf battu puis dans la chapelure.
Les faire rissoler de toutes parts , saler poivrer .
Il faut un juste équilibre entre le OUI et le NON
C'est ce qui nous permet de nous affirmer!
La vie nous en offre tous les jours.
A nous de les saisir et de savoir en profiter
MELY
Les temps sont rudes pour les lanceurs d'alerte : ce n'est pas Myriam Garet, une aide soignante qui a été licenciée pour faute grave pour avoir osé dénoncer des abus et des maltraitances prenant pour cible des personnes âgées, qui vous dira le contraire. En mai 2016, cette salariée de l'EHPAD nîmois « Les Oliviers » avait été licenciée par sa direction, pour avoir voulu rapporter et de dénoncer des faits de violences à l'encontre d'une pensionnaire de 93 ans. Elle était en poste depuis sept ans.
Myriam Garet avait pris des photos afin de dénoncer les maltraitances, et d'alerter les responsables de l'établissement. Mais loin de la féliciter pour avoir fait un pas pour briser l'omerta en tentant de tirer la sonnette d'alarme vis-à-vis des abus dont souffrent certains patients, la direction de l'EHPAD a décidé de la licencier pour « faute grave ».
D'abord choquée par cette décision, la jeune femme a décidé de poursuivre son ancien employeur en justice pour licenciement abusif. Elle a obtenu gain de cause ce vendredi: les Prud'hommes ont condamné l'établissement à lui verser 18 000 euros d'indemnités et 6000 euros à Pôle emploi.
La victime des maltraitances, une femme âgée de 93 ans, avait été prise pour cible par une aide-soignante qui n'hésitait pas à lui infliger de nombreux sévices, à la harceler et à la frapper. La patiente avait elle-même peur de parler, et refusait que sa famille ne dise quoi que ce soit, de peur de subir ensuite des représailles. « Elle me disait sans arrêt, ne dis rien, ne dis rien, tu parles trop et ça me retombe dessus, » détaillait en 2016 la fille de la victime à France 3.
Finalement, c'est Myriam Garet, une autre aide-soignante qui a eu le courage de faire le premier pas et dénoncer les agissements de sa collègue. Elle a pris des photos pour montrer le traitement que cette salariée faisait subir à la personne agée, afin de pouvoir plus tard étayer ses accusations auprès de la directrice de l'EHPAD.
Mais, malgré le fait que l'auteure des violences a été mise en examen et condamnée à trois ans de prison avec sursis pour coups et blessures aggravées, Myriam Garet avait tout de même été licenciée, sans indemnité.
Si le tribunal des Prud'hommes a finalement reconnu le licenciement de l'aide-soignante comme étant « abusif », la direction de l'établissement a d'ores et déjà décidé qu'elle allait faire appel de cette décision. En effet, les responsables de la maison de retraite arguent que le licenciement de la jeune femme n'est pas directement lié avec la dénonciation des actes de maltraitances, mais que la direction reproche à son ancienne salariée des actes d' « insubordination » ainsi que d'avoir publiquement « dénigré » les responsables de l'hôpital.
Ingrédients pour 4 personnes :
Préparation :
Laver puis égoutter les tomates cerises.
Égoutter les cœurs d’artichauts puis les couper en 4.
Couper la feta en petits cubes.
Dans une jatte, battre les œufs en omelette.
Ajouter la crème en mélangeant au fouet, saler, poivrer.
Ajouter les tomates cerises, les artichauts et la feta dans la préparation. Mélanger délicatement.
Étaler la pate brisée dans un moule à tarte.
Verser la préparation dans le moule.
Enfourner pendant 25 minutes dans un four préchauffé à 200°C.
La trahison....
Tout le monde je pense en a été victime.
Difficile à supporter.
C'est tout simplement que nous avions mal placé notre confiance ; mais ça... on ne le sait que plus tard.
Mely
Au fond de la forêt amazonienne de l’Ouest, les papillons boivent les larmes de tortues pour vivre. Cela ressemble à un roman de fantasy, mais il est à cent pour cent la vraie !
Il est un spectacle inhabituel, des essaims de papillons affluent aux yeux des tortues pour essayer d’obtenir une gorgée. Les pauvres tortues continuent à les esquiver, mais les papillons persister jusqu’à qu’ils ont eu leur breuvage.
Selon Phil Torres, un scientifique au Centre de recherche de Tambopata au Pérou, les papillons sont attirés par les larmes parce que les gouttes de ce liquide contiennent du sodium, un minéral qui est rare dans la région ouest de l’Amazonie.
Tandis que les tortues obtiennent beaucoup de sodium par leur régime carnivore, les papillons herbivores besoin d’une source minérale supplémentaire.
Torres a expliqué que la forêt amazonienne de l’Ouest est de plus de 1000 miles de l’océan Atlantique, une des causes principales sources de sel. La région est également coupé des particules minérales soufflées vers l’ouest de la Cordillère des Andes.
La plupart de ces minéraux sont emportées par le vent extraite de l’air par la pluie avant qu’ils aient une chance d’atteindre l’ouest de l’Amazonie.
Ces facteurs contribuent à des niveaux extrêmement faibles de sodium. Ainsi, les papillons doivent se tourner vers la meilleure source disponible pour eux, et que comprennent les larmes de tortues, de l’urine animale, rives boueuses de la rivière, des flaques d’eau, et des vêtements en sueur.
Toute personne se rendant dans les forêts tropicales de l'Amazonie de l'Ouest peut contempler un spectacle pour le moins étrange: de frêles papillons voltigent de tortue en tortue en buvant, tel un nectar délicieux, leurs larmes salées.
Pourquoi le font-ils ? "Voici un beau mystère que la nature nous réserve et qui gît au-delà de notre compréhension", dirait un amateur peu avisé. Ceci ferait sans doute sourire Phil Torres, explorateur intrépide de la chaîne satellitaire Al Jazeera.
En bon scientifique, il s'est penché sur la question pour la trancher une fois pour toutes. Selon lui, les représentants de la faune locale subissent un manque constant de microéléments indispensables, tels que l'azote et le sodium, tous les plans d'eau de la région étant pauvres en sels.
Tandis que les carnivores, poursuit le magazine National Geographic, comblent cette lacune alimentaire en se nourrissant de la chair d'autres animaux, les herbivores, dont les papillons font partie, sont forcés de trouver d'autres moyens pour y remédier.
"Les papillons se débrouillent comme ils peuvent", plaisante-t-il.
"Les papillons boivent des larmes de tortues pour une raison tout à fait pragmatique, celle de combler un manque constant de minéraux essentiels", conclut-il.
(Source :Oddity Central)